| Titre : |
Paul et Virginie |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814), Auteur ; Robert Mauzi (1927-2006), Editeur scientifique |
| Editeur : |
Paris : GF Flammarion |
| Année de publication : |
impr. 2014 |
| Collection : |
GF num. 87 |
| Importance : |
1 vol. (224 p.) |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
18 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-133012-2 |
| Prix : |
4,50 EUR |
| Note générale : |
Bibliogr. p. 215-218 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
Tout l'équipage se précipitait en foule à la mer, sur des vergues, des planches, des cages à poules, des tables, et des tonneaux. On vit alors un objet digne d'une éternelle pitié : une jeune demoiselle parut dans la galerie de la poupe du Saint-Géran. C'était Virginie. Tous les matelots s'étaient jetés à la mer. I1 n'en restait plus qu'un sur le pont, qui était tout nu et nerveux comme Hercule. I1 s'approcha de Virginie avec respect : nous le vîmes se jeter à ses genoux, et s'efforcer même de lui ôter ses habits; mais elle, le repoussant avec dignité, détourna de lui sa vue... Dans ce moment une montagne d'eau d'une effroyable grandeur s'avança en rugissant vers le vaisseau. A cette terrible vue le matelot s'élança seul à la mer; et Virginie parut un ange qui prend son vol vers les cieux. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. |
Paul et Virginie [texte imprimé] / Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814), Auteur ; Robert Mauzi (1927-2006), Editeur scientifique . - Paris : GF Flammarion, impr. 2014 . - 1 vol. (224 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( GF; 87) . ISBN : 978-2-08-133012-2 : 4,50 EUR Bibliogr. p. 215-218 Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
Tout l'équipage se précipitait en foule à la mer, sur des vergues, des planches, des cages à poules, des tables, et des tonneaux. On vit alors un objet digne d'une éternelle pitié : une jeune demoiselle parut dans la galerie de la poupe du Saint-Géran. C'était Virginie. Tous les matelots s'étaient jetés à la mer. I1 n'en restait plus qu'un sur le pont, qui était tout nu et nerveux comme Hercule. I1 s'approcha de Virginie avec respect : nous le vîmes se jeter à ses genoux, et s'efforcer même de lui ôter ses habits; mais elle, le repoussant avec dignité, détourna de lui sa vue... Dans ce moment une montagne d'eau d'une effroyable grandeur s'avança en rugissant vers le vaisseau. A cette terrible vue le matelot s'élança seul à la mer; et Virginie parut un ange qui prend son vol vers les cieux. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. |
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